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Annie, jolie blonde de trente quatre ans, est professeur au lycée St Jean. Elle sort péniblement d'une douloureuse séparation. C'est au côté de son neveu Hervé, jeune homme de dix huit ans, qu'elle retrouve le réconfort. Il est très attentionné, toujours un petit mot gentil pour lui remonter le moral. C'est un peu comme un grand frère.
Annie adore le sexe. Son corps, superbe est fait pour çà. Il n'est pas rare que la nuit, elle fantasme sur son neveu, imaginant les pires perversions érotiques. Annie se réveille alors en sursaut, les doigts plein de mouilles. C'est elle qui s'est doigtée jusqu'à se faire jouir.
Ce soir, c'est la fête au village. Un bal est prévu sur la place, suivi d'un feu d'artifice. Annie a sorti la tenue sexy. Minijupe, petit haut à fermeture éclair, et escarpins de huit centimètres.
-Que tu es belle tata, fait remarqué Hervé. Si j'étais pas ton neveu, je
tenterai ma chance. Qui sait...
Annie se retourne, le regard pétillant, lui caresse la joue, et l'embrasse tendrement.
Le soir, elle danse à plusieurs reprise avec Pascal, un jeune étudiant d'une vingtaine d'année, très séduisant. Il l'a tient par la taille, elle, a passé ses bras autour de son cou.
Hervé a eu croisé ce jeune au lycée. Il a une réputation de dragueur, sait parler aux femmes, sait l'est faire rire. Tout ce qu'Annie a besoin en ce moment.
Les lumières s'estompent, et monte la rumeur. C'est l'heure du feu d'artifice. Les personnes s'agglutinent contre les barrières. Les gosses sont collés au premier rang. Annie est juste derrière, coincée par les autres spectateurs.
Soudain, elle sent une main qui effleure sa cuisse. Elle essaie de repousser l'intrus d'un mouvement de jambe. Mais la manoeuvre est faible. La main insiste, remontant vers l'entre jambe. D'abord surprise, Annie se détend, accepte la caresse de plus en plus douce. Elle passe un pied entre deux enfants, et le pose sur la barrière pour mieux s'offrir. Lentement, la main écarte le string. Un doigt court sur la fente, taquine le clitoris. Annie se tend en avant pour inviter le doigt à s'introduire en elle.
L'autre main tire sur le string, le fait glisser sur les hanches, et le quitte. Annie se tord pour faciliter l'opération. Sa chatte, toute humide, est totalement offerte, la clitoris entièrement décalotté, et doigté. Les doigts, d'une précision chirurgicale, fouillent son intimité. Annie se cambre pour mieux recevoir la caresse. Sa respiration s'accélère. Elle ne se préoccupe pas des gens autour d'elle qui pourraient être attirés par ses gémissements. Elle glisse une main entre ses cuisses pour inciter les doigts à l'a pénétrer d'avantage. Elle décide de s'offrir à cet inconnu, sans vouloir le connaitre. C'est plus excitant. Cà y est, elle joui. Dieu merci, ses cris de plaisir son couvert par le bruit des pétards.
L'orchestre lance une nouvelle série de slow. Pascal, toujours à l'affut, invite Annie. Il l'a serre dans ses bras. Elle est surprise par tant d'assurance, mais ne se dérobe pas. Elle est même prête à accepter ses avances. Il y a si longtemps qu'elle n'a pas eu une relation physique. Il s'approche d'elle, et lui murmure à l'oreille. Elle hoche la tête d'un mouvement affirmatif. Le couple se retire derrière la scène de l'orchestre. Là, il lui prend farouchement les lèvres. Elle lui prend la nuque, et répond au baiser. Une main de Pascal s'engouffre sous le bustier, saisit le bout des seins durcit par le désir, et l'est fait rouler entre ses doigts. L'autre main enroule la minijupe autour de la taille.
Annie se précipite pour faire glisser la fermeture éclair, et baisse le "jean". Le sexe de Pascal, en érection, jaillit dans sa main. Doucement, elle fait coulisser le prépuce, et le décalotte.
-Prend moi, soupire-t-elle.
Pascal l'a soulève par les fesses, et la hisse jusqu'à ce que la chatte de sa partenaire soit à la hauteur de sa queue, puis l'a pénètre. Annie gémit de plaisir, empalée sur la bite de ce gamin. Elle ne se maitrise plus. Elle est à sa merci, et il le sait. Il l'a regarde d'un sourire vainqueur, dominateur.
-Oh, mais la petite garce aime se le faire mettre, sourit-il. Elle
se régale la salope, hein?
-Tais toi, murmure-t-elle. Il y a si longtemps que j'ai pas pris un
coup de queue. C'est tellement bon. Vas-y, nique moi salaud. Viens
passer la nuit chez moi, tu le regretteras pas. S'il te plait.
Il est minuit quand le couple, soudé par les lèvres, arrive dans la chambre d'Annie. En un tour de main, ils se retrouvent tout nus. Pascale ne peut retenir un sifflement admiratif en voyant les corps superbe d'Annie. Elle s'avance vers lui, lui prend les bourses, et fait rouler les testicules entre ses doigts.
-Mon dieu, mais elles sont pleines, dit-elle. Tu as besoin d'être
soulager toi, hein? Allonge toi, je vais te tailler une pipe, après
tu m'enculeras, d'accord? Le programme te plait mon chéri.
C'est maintenant elle qui monopolise la situation. Elle joue sur sa plastique, son expérience. Mais Pascal assure, se montre à la hauteur, comme un vrai amant. Il s'amuse avec elle. C'est elle qui hurle de plaisir. Qui le supplie de lui donner encore. Pascal va l'a prendre dans toutes les positions, par tous les orifices.
-Salaud, gémit-elle, quel amant merveilleux tu es. Qui t'a appris
tout çà, vicieux?
Annie va se faire prendre une dernière fois sous la douche. Le baiser d'adieu est charnel.
-Au fait, sourit-il, j'ai quelque chose pour toi. J'espère que tu
m'en voudras pas.
-Mon string? C'était toi polisson. Décidément, tu auras jouer avec
moi tout le soir. Hum...voyou.
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Ecrit par mathisson
Parue le 31 08 2009
